Dans un centre médical spécialisé où les cas désespérés viennent finir leur vie, un nouvel arrivant, Dimitri, la cinquantaine avancée, se lie avec Suzanne, une soignante trentenaire qui se dévoue aux malades depuis le décès de son mari. Ces deux blessés par la vie vont faire un bout de chemin ensemble jusqu’à ce que Dimitri s’éteigne en paix auprès de Suzanne que cet amour aura régénérée.
Alors qu'elle travaille tard au laboratoire, Sylvie surprend son jeune frère Paul, une arme à la main. Il lui explique qu'il vient de découvrir les vraies raisons de la mort de leur père. Celui-ci ne se serait pas suicidé comme on le prétend : son associé Walser l'aurait assassiné et il en a les preuves. Inquiète de la détermination de son frère et de sa fragilité, Sylvie décide de prendre les choses en main.
Une famille bourgeoise recrute une nouvelle bonne à tout faire, Sophie. Celle-ci souffre d'un handicap qu'elle dissimule à ses employeurs : elle est illettrée. Les choses se dégradent lorsqu'elle se lie d'amitié avec Jeanne, la postière qui ouvre les lettres.
Le doyen Menou-Segrais, qui a pris sous sa houlette l'abbé Donissan, vicaire dans un petit village de l'Artois, dont il pressent la sainteté, se voit dans l'obligation de le réprimander. Mortifications et flagellations excessives n'y font rien : le jeune prêtre montre trop d'orgueil à se châtier et à gagner les faveurs de Dieu. Par un baiser du démon, l'abbé devient visionnaire et capable ainsi de déchiffrer les pensées des humains. Dans la paroisse de Donissan,
L'inspecteur Mangin est prêt à tout pour démanteler un réseau parisien de trafiquants de drogue. Il dispose de maigres éléments, fournis par son indic, Claude. Un nom se détache : « Simon ». Mangin fouille son appartement de fond en comble, mais ne trouve rien. Il envoie Simon réfléchir en prison et tente de soutirer des renseignements à sa petite amie, Noria. Mais celle-ci, rebelle, refuse absolument de collaborer. Mangin comprend peu à peu qu'il est en train de tomber amoureux de
À quinze ans, Suzanne découvre avec lucidité et une certaine amertume que ce qu'elle aime faire avec les hommes, c'est l'amour et rien d'autre. Le reste ne serait-il qu'ennui ou illusion ?