Au terme d'un cambriolage qui a viré au massacre, Christian, un malfrat, est laissé pour mort. Marcus, le chef de la bande, n'a pas toléré qu'il fasse passer sa conscience avant les ordres. Treize ans plus tard, Marcus et ses trois acolytes croupissent derrière les barreaux, tandis que Christian tente de se racheter au sein d'une communauté monastique isolée. Lorsque Marcus et ses complices s'évadent, leur route semée d'étranges hasards les conduit vers le
L'Aldébaran est un vieux bateau relégué depuis de longs mois dans le port de Marseille. Etrangers, sans droits, séparés de leur famille, les marins croupissent, sans le sou, dans la promiscuité et le dénuement le plus total. Lorsqu'ils sont débauchés, seuls deux d'entre eux restent à bord : Abdul Aziz, le capitaine libanais, un homme dur et respecté, et Diamantis, son second, un Grec très indécis et presque contemplatif, marin par tradition et par goût.
À Paris, à l'aube de la Révolution de juillet 1830, Étienne Boisset, jeune journaliste et biographe autoproclamé d'Eugène-François Vidocq, débarque de son village de province pour démasquer l'assassin de son maître à penser et reprendre sa dernière enquête laissée inachevée. En cours de route, il fait la rencontre de tous ceux qui avaient côtoyé de près ou de loin Vidocq…